La bijoutière tawanaise Shih Dea (Deborah) Tseng joue avec les perceptions de la vision.
Elle utilise pour cela, le blanc, pour “brouiller les pistes” et créer une impression visuelle vague et abstraite… Elle nous oblige donc à utiliser le toucher, pour deviner les juxtapositions de textures utilisées… et ainsi susciter l’émotion!
Est-ce que les photos vous donnent envie de les toucher?
3 commentaires
Céline
25 mars 2015 at 14 h 26 minEn effet, ça donne envie de toucher… c’est un sens que j’utilise beaucoup en plus dans mon métier (la danse) 🙂
Marielle Debethune
25 mars 2015 at 14 h 46 minOui c’est sûr… la bijouterie et la danse on en commun la relation au corps!
Marielle Debethune
25 mars 2015 at 14 h 47 minCette série s’appelle “DON’T JUDGE A BOOK BY ITS COVER”