Au son frissonnant des cigales, fières, les feuilles d’olivier révèlent au soleil écrasant leurs veloutés d’argent. Elles offrent une lumière tamisée à cette terre aride, brûlante… Le vent s’engouffre, les bouscule, et parle pour elles. Elles bruissent, se détachent, pour vite tomber au sol comme de frêles épaves…

Maä Olivine
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